
Toujours un immense plaisir de lire cette auteure. J’attend toujours avec impatience la sortie de chaque nouveau roman. Celui-ci n’est pas encore sorti en France, il faudra attendre le mois d’Avril. J’ai la chance de l’avoir un peu plus tôt car il est paru depuis plusieurs mois au Canada. Et encore une fois c’est un coup de coeur.
Nous sommes en présence de la première partie d’un nouveau cycle de Shimazaki (Cycle de cinq volumes). Anzu, une jeune femme de quarante ans, divorcée. Vit avec son fils Tôru, elle ne souhaite pas se remarier, ayant été déçue les deux fois où elle est tombée amoureuse. Elle est renommée comme céramiste, et se consacre intensément à son art. Elle trouve le calme, la sérénité dans ses poteries.
C’est alors que sa soeur aînée Kyôko, célibataire et séductrice impénitente, annonce qu’elle s’est fiancée. Une réunion à lieu chez les parents qui sont ravis que leur fille aînée se pause et trouve un mari.
Suzuran, un roman d’amours et de femmes japonaises. Le style de Shimazaki est toujours aussi court et limpide. En quelques courtes phrases elle nous fait voyager dans un monde qui semble serein, contemplatif. Elle ne s’occupe pas de fioritures et nous plonge de façon emphatique dans la vie de cette jeune femme.
A lire absolument. L’auteure nous immerge dans le monde et la culture du Japon, le roman contenant un glossaire de mots et quelques hiragana, ce qui n’est pas déplaisant pour ce voyage.
Divers:
- Editeur Leméac, 2019
Très très hâte, celui-ci a l’air vraiment bon !
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J’ai lu un cycle d’elle l’an dernier et j’ai beaucoup aimé.
J’ai bien l’intention d’en lire d’autres. Je vois qu’elle ne déçoit pas dans le temps, que la qualité de ses romans se tient.
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Effectivement Emma, il faut juste avoir la patience d’attendre la suite de cette nouvelle pentalogie.
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